C’est bon, j’en ai un huge.
Tout commence devant l’entrée du Terminal C de LAX un vendredi soir. Je suis avec mon cousin, on ne sait pas trop quoi faire de notre nuit. On se regarde, on parle, sans bouger. Deux secondes plus tard on est toujours dans ce qui semble être LAX, mais à la place de l’entrée, c’est un club, l’autre côté n’a pas changé. A oui, il fait nuit d’un côté, et jour de l’autre.
N’écoutant que notre envie de festoyer, nous entrons dans le club. Musique pourrit, ambiance à moitié minable. Heureusement il y avait des potes. On décide de sortir. On est toujours dans le noir. L’autre côté est beau, lumineux, accueillant. On commence à faire d’autres plans et on enfourche nos motos (Harley Davidson) pour changer de coin.
Au moment de quitter cette place, nous nous apercevons que l’autre côté de la rue est devenu un énorme repère à la jeunesse décadente. Pour le coup on y va. C’est moins loin que d’aller à Valencia ou San Fernando. On décide de rentrer. L’ambiance est énorme, la musique minable, mais on s’en tape. On se met à boire à faire la fête. V’la que je me mets à parler avec un mec que je ne connais pas, trois secondes plu tard 1 fille arrive pour me parler : « You’re so cuuuuute », l’accent français, à coup sûr. Elle est magnifique, 1m55-60, cheveux noir, une odeur sur naturel, mais un des potes est déjà sur « le coup ».
Généralement cela ne m’arrête pas, mais là pas moyen de faire quoi que ce soit.
Autre point important, j’avais l’impression de l’avoir déjà vu, mais je ne sais où. Pour les besoins de l’histoire, je l’appellerai Mendy par la suite.
Bref, je retourne voir mon cousin, on parle, sans bouger et bim, magic trick, on se retrouve dans un stade de hockey. On est devenu joueurs en 2 secondes. On entre sur la glace avec un autre gars, un black hyper cool, marrant, et qui parait très sérieux. Ah et ouais, il fait toujours jour.
Au fur et à mesure du match ce black commence à changer, il devient agressif, fou, à la limite de vouloir exterminer les adversaires. Ce mec, c’est Obama, mais en plus vieux et avec une tête de fou. De la barbe blanche, les yeux fou (-Aparté : normalement c’est les filles qui ont les yeux fou, mais lui c’était bizarre-), de la bave sur le menton. On aurait dit qu’il était enragé. On essayé de le raisonner mais pas moyen, il était vraiment en rogne.
De même que les deux fois précédentes, je vais voir mon cousin, on se regarde, on parle, sans bouger, et bim, téléportation.
Je me retrouve avec Mendy. On se parle comme si on se connaissait depuis 10 ans, elle rie regarde autour d’elle puis je capte ses yeux. C’était une impression de totale impuissance, elle me fascinait totalement, et le sourire…Un petit rictus dans le coin gauche de sa bouche, déstabilisant au possible. La luminosité d’une après-midi californienne est toujours présente. Il est 1 ou 2h du matin.
Il y a un papier accroché au mur. Je vois dans noms de voiture dont une 307, un R5 et d’autres trucs bien français. C’est son cousin qui lui a donnée toutes ces voitures. Elle me demande d’en choisir une. Je n’ai pas compris, il y a eu une transition. L’instant d’après elle a un papier dans les mains, mon nom d’écrit dessus. Elle m’embrasse. Ca y est enfin, j’ai trouvé une nouvelle vraie copine, ca faisait longtemps, j’me sentais libre, heureux.
L’instant suivant on se retrouve dans ce qui semble être un train, ou un bus. Je suis en face du pote qui était « sur le coup ». Je décide de passer ma main outre son siège, pour atteindre Mendy.
Ensuite, mon enfoiré de réveil à la con a sonné, et je suis allé taffer, tout en m’efforçant de me souvenir de ce rêve. Toute la journée j’ai essayé de le conserver comme il était « réellement ».
FYI : Le prénom "Mendy" n’est pas arrivée comme ça. Je l’ai rencontré hier soir avant d’aller à une fête. La même.
PS : Désolé pour les fautes, j’ai trop mal au crâne pour corriger.
Sam 8 Nov - 21:39
